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Titre :Les pharmaciens, chanson sceptique et antiseptique
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Moy, Jules
Interprète(s) :Maréchal, André
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :17 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Berliners' Gramophone
Numéro de catalogue :32715
Date de l'enregistrement :1900-08-14
Instruments :orchestre acc.
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :29-05-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. André Maréchal chante ici en anonyme. AK non cité. London ? Mention 'répertoire Fragson'
Texte du contenu :Les pharmaciens

Création : Mayol (1897 au Concert Parisien) - reprises : Yvette Guilbert, Maréchal, FRagson

Paroles et musique : Jules Moy - Éditeur : Guéteville - Paris


C'est nous qui sommes les malheureux pharmaciens
Ça n'est pas gai, la pharmacie
On a beau dire, nous faisons un métier d' chiens
Notre existence n'est pas une vie
Nous nous levons tôt, nous couchons tard
Mon Dieu, qu' c'est embêtant d'être potard
Tout le monde crie après nous
En nous traitant de sales filous

Pourtant nous sommes des praticiens très sérieux
C'est à tort qu'on nous interpelle
Nous fabriquons nous-mêmes en gens consciencieux
Les eaux minérales naturelles
Les analyses, généralement
Pour nous sont une source de profits très grands
Tout l' sucre que nous en extrayons
Nous sert pour sucrer nos potions

Aux malades, nous donnons des consultations
Nous rédigeons des ordonnances
Pour tous les maux nous servons les mêmes potions
Ça n'a, du reste, pas d'importance
Quand le cas nous paraît douteux
Nous ne nous inquiétons pas pour si peu
Nous n'avons pas recours au médecin
Chez nous, l' client claque aussi bien

Nos prédécesseurs attendaient l' choléra
Pour mettre de côté quelques thunes
Nous avons la chance d'avoir l'influenza
Qui nous fait faire très vite fortune
Nous gagnons trop dans notre métier
Pour poursuivre les gens qui refusent de payer
Même lorsqu'ils n' nous donnent pas d'argent
Nous gagnons encore vingt pourcents

Nous nous trompons quéqu'fois d' médicament
La nuit, tandis qu'on nous dérange
Quand on nous fait lever précipitamment
Sous les prétextes les plus étranges
Bien souvent, des gens effrontés
Pour deux sous d' pommade viennent nous réveiller
Nous leur servons, pour nous venger
D' la pommade au poil à gratter


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